domingo, 5 de febrero de 2012

Les femmes à côté de la Seine





Elles sont deux femmes à côté de la Seine. Une soirée froide de janvier.
Toujours que je suis en train de faire de la photographie, il y a quelqu'un que je dois rappeler. Il était le photographe le plus aimé pour moi. Il m'a appris tout ce qu'il faut savoir pour faire une photo: que ce n'est qu'avec l'amour plutôt qu'avec l'appareil qu'il faut agir.
Il s'appellait Robert Doisneau. Né à Gentilly le 14 avril 1912, il est mort à Paris le 1 avril 1994. Dès 1929 où il commence à travailler d'une façon autodidacte et puis dans un studio photographique qu'il achete lorsque son propiétaire est mort, jusqu'à l'année 1993 où il a pris sa dernière photo, il a suivi une carrière où sa vision gentil de la vie, son amour pour tous les êtres l'ont emmené à réaliser des oeuvres qui restent dans la mémoire collective de tous. "Le baiser de l'Hôtel de Ville" n'est que sa photo la plus connue parmi innombrables photographies prises avec le même amour de la vie. 
Depuis longtemps que je le connais, j'ai acheté plusieurs de ses livres, et si j'ai eu l'occasion, je suis allé voir quelque exposition de lui. Je me suis trouvé avec une exposition anthologique une fois à Milano, une très belle salle à côté du Duomo. Mais c'était celle de l'Hôtel de Ville de Paris en décembre 2006, la plus grande exposition avec laquelle la ville de Paris a rendu hommage à l'homme qui l'a photographié avec le plus grand amour, laquelle m'a laissé le plus touché, le plus amoureux de lui.
Je ne sais pas si la photo qu'accompagne ces mots est la plus appropiée pour lui rendre mon particulier hommage.
Mais le jour 7 janvier 2012, j'étais en train de me balader sur les quais de la Seine, sous le ciel bien nuageux et le temps froid et j'ai vu ces deux femmes avec leurs manteaux, appuyées sur le parapet de la Seine et je n'ai hésité pas un instant pour garder leur image dans mon appareil et c'est lorsque je fais des choses pareils que je suis complétement dans l'amour.
Je vous invite à la bientôt oublier, ma photo.
Ce à que je vous invite est à rechercher des images prises par Robert Doisneau et à les bien jouir.

domingo, 27 de noviembre de 2011

GRUNEWALD


C’était hier que je suis retourné à Grunewald.

Que j’ai marché sur le quai 17, ébloui par le soleil du matin d’octobre.

Que je suis de nouveau ici, tout en recherchant les pas perdus depuis longtemps que je peux encore écouter, que j’écouterai toujours.

Ou, peut-être, ce ne sera que le son de mes propres pas. Sur la terre.

Sous les arbres. Sous le soleil de ce matin que pour moi est devenue la nuit la plus amère.

Je marche sur le quai 17, j’écoute tous les pleurs des enfants.

J’écoute tous les pleurs des anciens. J’écoute tous les pleurs des femmes et des hommes.

Et ce que je ne peux pas supporter est l’âpre son du train qui parte.

Cette chanson-là de fer en se brisant.

Et tandis que les lumières du train sont déjà perdues dans leur éloignement, je sens que mon cœur tombe par terre, que mon cœur veut en vain se mêler avec la boue, et ce sont tous ceux-là qui sont partis qui ne retourneront à mes rêves qu’en cendre.

viernes, 3 de junio de 2011

Groupe de conversation dans El Parnasillo


Aprés la fête, on est allé au "café des jeudis dans El Parnasillo".

C´est là, dans un coin où on parle de quelque chose en français de 17 a 19 heures.

Tout le monde est invité a parler, babarder, etc..

La fête de fin de cours

Cesar et Marie Joe


Susana Samper, Marie Joe (elle s´assise), Cesar, Susana Martin, Maica (au fond) AnaLia (elle prend quelque chose) et Jaime (en ouvrant la bouche)




Un quart de Rafa, Jaime, AnaLia et Ramón (chaqu´un à son affaire) et un outre quart de Marta


C´etait le dernier jour de classe. Tout le monde a aporté quelque chose pour manger, boire, etc...madre mia!.