Je ferai des rêves autour d’une ville
avec un grand fleuve
et bien près de la mer.
Où la nuit est calme
et les bateaux se glissent doucement
avec la dance
étrangère
de leurs lumières solitaires
sous la morne pluie.
C’est le temps où les réverbères du port
appellent les enfants
au jeu du silence.
L’attente de l’hiver
sera si large
que les hommes de la rive,
seront partis
et le soleil,
encore et encore,
rechauffera les corps.
Où sont-ils,
mes rêves perdus?
Ce sera peut-être
que le vol des mouettes
a la tombée du soir
les a emmené
jusqu’au dernier regard de la mer
et là il n’y avait pas aucun bateau
pour les acueillir.
No hay comentarios:
Publicar un comentario