lunes, 16 de mayo de 2011

Lisboa

Je ferai des rêves autour d’une ville

avec un grand fleuve

et bien près de la mer.

Où la nuit est calme

et les bateaux se glissent doucement

avec la dance

étrangère

de leurs lumières solitaires

sous la morne pluie.

C’est le temps où les réverbères du port

appellent les enfants

au jeu du silence.

L’attente de l’hiver

sera si large

que les hommes de la rive,

seront partis

et le soleil,

encore et encore,

rechauffera les corps.

Où sont-ils,

mes rêves perdus?

Ce sera peut-être

que le vol des mouettes

a la tombée du soir

les a emmené

jusqu’au dernier regard de la mer

et là il n’y avait pas aucun bateau

pour les acueillir.

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